Où est passée la lune

Ce vendredi 28 juillet 2018, j’avais rendez-vous avec les astres. En effet dans notre ciel, se produisait une éclipse totale de lune, à un horaire raisonnable. Le phénomène a commencé sous l’horizon pour les français de métropole donc à moins d’avoir sauté dans un avion pour se rapprocher de l’équateur, on a raté le début.

Bien que m’étant bien préparé, réservé la soirée, mangé de bonne heure et tout et tout, et ben je n’ai pas pu voir milieu non plus. Merci les nuages !!! Ayant pris une bonne douche, en moto, en rentrant du boulot, j’avais peu d’espoir, ce qui m’a prodigieusement agacé vu la semaine complète de chaleur et de soleil qu’on a eu pour finir avec début du WE tout pourri, la fin aussi d’ailleurs.

Tous les 1/4 d’heures je scrutais le ciel en espérant que ça se dégage. Pour passer le temps, je regarde la dernière vidéo d’AstronoGeek qui viens d’être postée sur Youtube, qui comme par hasard parle de l’éclipse. Et ce petit comique qui gueule parce qu’on est pas dehors le nez au ciel Grrr !!  😈

Vers 22h, le ciel vers l’ouest commence à se dégager enfin, je saute dans l’auto et cherche un bon point d’observation. J’avais tenté une reconnaissance dans la semaine mais sans succès (Je suis Breton depuis peu et je n’ai pas encore eu, ni pris, le temps d’exploré tous mon environnement avec précision, j’avais un peu mis de coté la photo). Après un bon 1/4 d’heure d’errance, j’ai fini par trouver un emplacement correct, tout juste au moment ou la lune sortait des nuages. Vite, vite, le trépied !!

C’est à ce moment que j’ai constaté que l’éclipse était très avancée et que j’avais raté le meilleur. Dans ce cas, le meilleur n’est pas pour la fin. Je me suis quand même appliqué à prendre une série de photo, pour avoir un petit souvenir de celle-ci, et aussi pour avoir une base de travail. C’est la première éclipse que je photographie donc je vais faire de la merde. Et je devrais en tirer quelques enseignements pour les prochaines.

Le vent, encore bien présent, qui chassait les nuages m’a bien gonflé et j’ai su sortir mon grand parapluie pour essayer de faire pare-à-vent. Ben j’étais pas toujours du bon coté 😀

Voici un petit échantillon :

        

Un petit merci aux nuages pour ajouter du volume aux photos et éviter une lune orpheline.

Bilan : Du vent, donc du flou, des flares, des forts contrastes de lumière pas du tout maitrisés. A méditer. 

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Randonnée La Jonction

Difficulté : très difficile.Panneau La Jonction

Temps de montée indiquée sur les panneaux :

  • 5h depuis le parking du télésiège (ou du tremplin olympique).
  • 4h depuis le haut du télésiège.

Altitude final : 2589m

Trajet A/R :

  • 14km : montée par le télésiège et redescendu à pied jusqu’au parking du tremplin
  • 12km : en prenant le télésiège dans les 2 sens.

Carte IGN : 3630 OT ou 3531 ET

Accès : Sortie n° 30 – Les Bossons sur la route blanche en direction de Chamonix.

Cette superbe randonnée à plusieurs points de départs (les uns derrière les autres) : le parking du tremplin olympique, les parking du Mont (2/3 plus haut) et le haut du télésiège. Quelque soit ton choix, il faut suivre les panneaux « La Jonction » et/ou « Chalet des pyramides ». Ce chalet est un petit refuge situé à environ 1/3 du parcourt. Cette randonnée est le départ d’une des principales voies pour gravir le mont Blanc.

Dôme du Goûter, Aiguille du Goûter, Rhododendrons L’ascension se fait autour d’un éperon rocheux séparant les glaciers des Bossons et le glacier du Taconnaz, la montagne de la Côte, tantôt d’un coté, tantôt de l’autre. Du coup, le suivi du relief fait que l’ascension n’est pas continue, comme sur beaucoup de randonnées autour de Chamonix, il te faudra parfois descendre et prendre des directions qui semble t’éloigner du but. Le sentier n’est pas large et passé 2000m d’altitude, certaines portion sont à flan de montagne avec une forte déclivité sous les pieds. De plus étant sur des pentes raides, il est fragile et sujet à l’érosion à chaque fin d’hiver. Certains passages sont délicats.

Le début de la randonnée (1er tiers) se fait dans la forêt de sapins, entouré des odeurs de résine. de temps en temps au bout du sentier, juste avant un virage en épingle, un super point de vue surgit derrière les arbres.

Le second tiers se déroule dans la fin de la forêt et … les plantations de rhododendrons, en fleurs selon la saison, pour arriver au mont Corbeau. Les difficulté commencent à arriver, en particulier la stabilité du chemin. Il faut un pied sûr pour progresser d’autant que parfois, le « bon » chemin n’est pas évident à repérer.

Balisage La JonctionEnfin, la dernière partie, depuis le mont Corbeau, suis les points jaunes. C’est plus raide, principalement dans les rochers avec quelques passage ou il faut utiliser les mains pour avancer. Il ne s’agit pas d’escalade mais de grosses marches sur des murs de rochers nécessitant de se tenir et s’aider pour garder un bon équilibre. 

A quelques pas de l’arrivée, on croise un lieu mythique du monde de l’alpinisme : le Gite à Balma. Courage, encore quelques mètres et la Jonction sera là offrant un très beau panorama sur une partie du massif du mont blanc. Pour info, on ne voit pas le mont Blanc. Le dôme arrondi, c’est le dôme du Goûter. Le mont Blanc est plus loin derrière.

A nos pieds, les glaciers et une voie vers le mont Blanc. Il est très tentant d’y aller car il suffit d’un simple pas sur la glace vers la haute montagne. N’y vas pas! Les glaces sont dangereuses car leur mouvements et leur stabilité sont imprévisibles en particulier l’été où elles fondent et/ou elles peuvent être sapées par des ruisseaux sous-glacier. L’alpinisme et la randonnée sur glacier doit se pratiquer en toute sécurité encadré par des personnes expérimentées que sont les guides. En plus sans crampons, c’est casse-gueule.

Panorama La Jonction

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Sac à dos photo de randonnée

Mon problème pour randonner, c’est le transport du pique-nique, des vêtements et du matériel photo, en gardant ce dernier facilement accessible selon les besoins.

Sac à dos DecathlonJ’ai plusieurs fois cherché un sac à dos photo de randonnée, en vain. Il y avait toujours un élément qui ne convenait pas. Du coups, j’utilise un sac à dos de randonnée de chez Décathlon qui est très bien pour la randonnée mais pas top pour ce qui est du transport et de l’accessibilité du matos photo. 

Comme chaque année que je viens à la montagne, je me pose la question : quoi de neuf en sac à dos photo? Et pour quel budget ? Comme c’est pour un usage occasionnel, je ne souhaitais pas investir un fortune.

Et cette année, j’ai eu de la chance. Une réponse satisfaisante est apparue. Ce n’est pas une nouveauté, il est sorti il y a plus de 2 ans. Peut-être qu’à l’époque le prix m’avait dissuadé. Petite recherche complémentaire d’avis et d’essais et convaincu par mes lectures et un tarif correct, je passes commande chez mon fournisseur préféré, livré en moins de 24h.

Mon choix c’est porté sur le sac :  manfrotto off road 30l.

Sac à dos Manfrotto Offraod

Il est donné pour une contenance de 30 litres. En comparaison avec mon Décathlon de 30 litres, il fait plus gros, plus proche des 40 litres (en comparaison avec un ancien sac).

Je ne vais pas refaire le tour de tous ses atouts, et redétailler la fiche technique points par points. Juste mon ressenti après quelques randonnées en montagne.

Au niveau du confort, les 2 points d’appuis sur le dos sont au niveau des omoplates, ce qui m’a un peu dérangé au début car habitué à un appui plus haut, et au niveau des hanches. Le reste du dos est bien ventilé grâce à la structure rigide du sac.

A l’avant (du corps) on trouve des sangles :

  • La sangle abdominale, qui dispose de 2 pochettes, une de chaque coté, de grande taille, onManfrotto Offroad vue de devant pourrait presque ranger une canette de 33cl dans chacune. A gauche elle est en filet donc peut protectrice mais très pratiques pour y mettre la poubelle de randonnée, les tubes énergétiques et pâtes de fruits … et à droite, elle est doublée et permet de protéger des objets d’éventuels coup « léger », idéale pour y ranger des accessoires comme batteries et cartes mémoires … Seul petit bémol de la sangle abdominale, du fait des pochettes de grande taille, il reste peut de longueur de sangle réglable autour de la boucle pour les personnes plutôt minces (j’ai un tour de taille d’environ 83cm).
  • La sangle pectorale, classique, pour le bon maintien des bretelles,
  • Et une 3ème sangle (la verte), très astucieuse, spéciale photographe qui permet de bloquer le boitier et son objectif sur le buste en relâchant la tension de la courroie du boitier.

Bien réglé (ça parait évident), il ne bouge pas et n’est pas pesant sur le dos.

De nombreuses sangles permettent de régler tous les volumes du sac. Et toutes les sangles disposent d’attaches type « Velcro » pour les maintenir bobinées et ne pas pendouiller et s’accrocher partout. C’est plus efficace que les élastiques que l’on peut rencontrer sur d’autres sacs.

Il dispose d’une protection contre la pluie, d’élastiques pour attache 2 trépieds à l’extérieur ou des bâtons de marche et 1 trépied pour ma part.

Manfrotto Offroad compartiment photoLa zone « photo » est une alcôve en mousse (comme classiquement dans beaucoup de sac) qui est démontable si on veut utiliser tous le volume du sac. Elle peut contenir d’un coté 1 grand zoom avec son pars soleil (replié), de l’autre, un objectif moyen et le boitier (sans son grip) équipé de son objectif.

Son seul gros défaut (déjà mentionné dans d’autres articles), vu le public de randonneurs visé par ce produit, c’est une erreur de conception de la part de Manfrotto (manque de complétude dans l’étude de marché), c’est l’absence de logement pour la poche d’eau et de passage pour la paille. On arrive à la caler et à faire ressortir la paille par le centre du sac mais elle est du coup raccourcie et la poche n’est pas protégée par un tissus contre les abrasions des autres objets contenus dans le sac qui peuvent être pointus ou coupants comme des crampons. Quand l’occasion se présentera, j’effectuerais cette petite évolution.Manfrotto Offroad poches - filet

Du fait de sa « faible » contenance coté four-tout, on peut difficilement partir pour une longue randonnée de plusieurs jours. Cependant, pour les courageux amateurs de photo nocturnes, le sac à dos dispose de plusieurs sangles permettant d’emporter un tapis de sol+petite tente. Les autres matériels nécessaires volumineux devront « pendouiller » autours du sac.

Pour terminer, pour une excursion d’une journée il est impeccable. Je pense que pour une nuit, avec quelques bricolages, c’est jouable. Pour plus, il faudra s’orienter vers ds sac de plus grande contenance dédié randonnée dans lequel vous conditionnerez votre matériel du mieux possible.

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Randonnée au Lac blanc

Les massifs autour de Chamonix offrent de nombreuses destinations de randonnées pédestres. Parmi elles, une de mes destinations favorite, le Lac blanc. Il se situe à 2352m d’altitude. La vue sur l’autre versant de la vallée est splendide.

Attention : Le lac se trouve dans la réserve naturelle des aiguilles rouges. Il est donc strictement interdit d’y venir avec son animal de compagnie (quel qu’il soit) , même tenu en laisse, afin de ne pas troubler la tranquillité de la faune sauvage et il y en a ni risquer de transmettre des maladies.


Lac Blanc

La carte :

Carte IGN 3630 OT

Si vous ne disposez pas d’une montre de randonnée, d’un smartphone avec cartographie de randonnée intégrée, il est préférable de se munir d’une bonne carte (et l’un n’empêche pas l’autre, j’ai toujours une carte). L’avantage d’une carte est d’avoir une bonne vision et globale et précise de son itinéraire. Autre avantage, sur une même carte, il y a de nombreuses destinations différentes dans un même périmètre.

L’IGN continue d’éditer de très bonnes carte, avec les chemins de randonnées clairement tracés et qui sont compatibles avec des relevés GPS. Pour un randonneur, il faut une carte la plus précise possible et donc avec une petite échelle : 1/25000 (1cm = 250m) c’est l’échelle la plus commune pour ce genre de cartes.

Pour la région de Chamonix, il vous faut la carte randonnée 3630 OT

 

Les voies d’accès :

Il existe de nombreuses routes pour y aller. Elles partent toutes de la vallée entre Chamonix et le col des Montets. Je ne les ai pas encore toutes essayées. En voici 3.

La plus rapide : le téléphérique de la Flégère.

Le chemin le plus rapide pour atteindre le lac consiste à emprunter le téléphérique de la Flégère. Il te déposera à l’altitude de 1877m. Tu gagnes ainsi entre 1h et 1h30 de montée dans la foret ou les alpages. 

Pour les personnes n’ayant pas une bonne condition physique, une endurance moyenne, ou étant pressées (on doit faire toute la vallée en 2 jours après on a Mont Saint Michel), c’est le meilleur point de départ. Il faut bien évidement payer le trajet. Renseignement à l’office du tourisme de Chamonix.

Une fois en haut du téléphérique, il reste encore une petite marche à faire. Environ 1h30 mais cela dépend bien sur de ta vitesse. Une partie de l’ascension est très rocailleuse. Il n’y a pas d’escalade à faire mais quelques bons tas de cailloux à franchir, à l’aller comme au retour. Il faut être prudent, et ne pas préjuger de ses capacités. 

Depuis La Joux :

Panneaux indicateursLa Joux est un petit lieu dit après Chamonix sur la route vers Argentière. Quelques maisons, une gare SNCF (il faut faire signe au conducteur) et 1 petit parking. D’ici, tu peux prendre plusieurs directions : vers Argentière en suivant un chemin avec peu de déclivité, idem de l’autre coté vers Chamonix et enfin, monter en direction de La Flégère.

Les 2/3 du trajet se font en sous-bois parfumés des essences des résineux. En sortie de la forêt, on arrive sur le domaine skiable de La Flégère et l’ascension se poursuit en suivant le tracé d’une piste de ski jusqu’à atteindre presque l’arrivée du téléphérique. Il faut bifurquer quelques centaines de mètres avant et rejoindre le chemin venant du téléphérique.

C’est par cette route que je suis passé cette année. L’ascension complète m’a pris 2h20min et la descente 2h00, oui, c’est pas terrible (en comparaison de la montée) j’ai un peu trainé, j’avais une petite fatigue.

Depuis le col des Montets :

Les précédentes fois, j’étais partis du parking du col des Montets, au delà d’Argentière en direction de Valorcine et de la suisse. Pourquoi aller si loin alors qu’on peut partir de Chamonix ? D’une part parce que Chamonix en pleine saison c’est noir de monde et qu’il y est difficile d’y stationner. Et surtout parce que la balade est plus belle, plus longue, mais un peu plus difficile aussi.

Le début est assez raide, dans les sous-bois, rien d’impossible, il faut grimper tranquillement, à la sortie des arbres, on arrive sur un chemin plus plat, qui longe la base des aiguilles Rouges. En face, enfin, à gauche quand on marche, en face des aiguilles Rouges, un superbe panorama sur les glaciers du Tour, d’Argentière, l’aiguille du Tour, l’aiguille verte … Et là on ressort sa carte pour identifier les sommets 🙂 

Ce chemin passe par les lacs de Chesery en contrebas du sentier puis Le lac de Chesery (pourquoi faire compliqué). Donc le premier point d’eau plus grand qu’une flaque – il ne sont pas gigantesques non plus – que tu rencontreras, ce n’est pas le lac blanc, il reste encore un bout de trajet à faire. Ces petits lacs peuvent être l’occasion d’une petite pause, d’un bain de pied dans l’eau claire et fraiche et pour les plus téméraires, d’une baignade. 

Les lacs contournés, l’ascension reprend avec un peu plus de difficulté, principalement dans les rochers et la difficulté augmente vers la fin car il y a des passages très raides à faire à l’aide d’échelles et de marches scellées dans les rochers. Si vous avez le vertige, la descente risque d’être compliquée. Enfin, au détour d’un gros rocher, tu tomberas sur le refuge et enfin sur le lac Blanc.

Je ne me souviens plus de mes temps par cette voie.

Le lac Blanc :

Refuge du lac BlancNous voici arrivé et la récompense est grande. Elle peut être surprenante selon la saison. Il est composé de 2 bassins, le second étant un petit peu en retrait. Selon le point d’arrivée, on ne voit pas immédiatement la partie arrières. 

On peut en faire le tour, plus ou moins facilement, il n’y a pas de chemin aménagé complet. 

Tu peux aussi continuer ta randonnée au delà du lac vers le col du Belvédère.

Selon la saison, période, et la météo des mois passés, il peut y avoir beaucoup de neige à l’arrivée.

La faune, la flore :

Comme je l’ai indiqué plus haut, tu te trouves dans la réserve naturelle des Aiguilles Rouges. Cela signifie que tout ce qui s’y trouve excepté toi, est protégé et DOIT être protégé. Il est donc très important de faire attention à toute la flore, éviter de sortir des sentiers pour aller gambader dans les végétaux. Et si une nécessité naturelle l’impose, veilles à ne pas piétiner sauvagement et bêtement les plantes. 

Au cours de ta randonnée, tu rencontreras probablement des animaux, si si, il y en a. Ce sont des animaux sauvages avec leur mode de vie, et tu es sur LEUR territoire donc de leur point de vue, un envahisseur qui vient troubler leur tranquillité. Donc, tu respectes les bestioles ! Tu ne leur cours pas derrière, tu ne leur cries pas dessus ou après, tu ne les siffles pas. Et surtout, tu ne leur donnes pas à manger.

Si tu as la chance d’en voir, même si c’est de loin, tu leur fous la paix. Si tu as de la patience, tu te poses sur un rocher et tu attends qu’éventuellement, elle reste dans le périmètre et qu’elle se rapproche de toi. Honnêtement, vu la quantité de boudins sur les sentiers, il y a peu de chance que la bébête revienne.

Tu croisera certainement :

  • des bouquetins, ils sont nombreux et pas trop farouches,
  • des oiseaux, choucas, aigles, des plus petits dont je ne connais pas le nom …, il y en a beaucoup
  • des marmottes, plus difficiles à apercevoir et dépendant beaucoup du monde. Il y en a qui vivent autour du lac Blanc, pas avant. Elles sont très farouches et détestent les vibrations. Donc si tu marches comme un éléphant, tu ne verras rien ou alors un cul qui se carapate dans les rochers. Il faut beaucoup de patience et de chance pour les voir.
  • il y a aussi un grand nombre d’insectes, papillons, scarabées (avec des couleurs dingues), …
  • Il y a peut être d’autres bébêtes mais je ne les ai pas vu.

Bouquetin dans les rhododendronsOn est pas bien là?

La montagne est un magnifique terrain de jeu et d’émerveillement, il faut la respecter afin d’en profiter longtemps.

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Salon de la photo 2014

Quelques photos d’un modèle lors d’une conférence sur la lumière LowKey sur le stand Panasonic. J’ai beaucoup aimé le style victorien de sa tenue.

 

 

Et quelques gros plans sur une brelle qui trainait attendant impatiemment un troupeau de photographes boulimique.

 

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